SaMaËlle dans la Maëlle est ...

Maëlle marie JOUANNIN, née le 30 Avril 1993 à Alençon. Tombée malade le 6 Juin 2013, est une peintre francophone autodidacte.
Très jeune, âgée alors de 20 ans on lui annonce qu'elle a une maladie chronique auto immune à vie de type lupus.
Elle choisi de continuer son combat contre la maladie avec sa meilleure amie, la peinture.
Et de voir si c'est susceptible de plaire à d'autre qu'à ses proches.

 

Facinée dès son plus jeune âge par la création quelle qu'elle soit, culinaire, plastique, peintures, dessin, sculpture en papier recyclé, fer, mais aussi maison de poupée avec lumière int

érieures décoration, poteries, home staging création d'abat jours en passant par la pyrogravure..

Ne pouvant se contenter d'une vie ou file les secondes derrière un écran, ne supportant pas les dimanches soirs sans avoir la satisfaction d'une nouvelle création ou du moin la mise au point d'un projet artistique. Elle crée.

Titulaire d'un bacchaloréat Scientfique, c'est dans la vie active que le destin la mène après réceptionniste de nuit en hotel 4étoiles, serveuse en restauration, elle trouve un emploi dans la vente auprès des particuliers, souhaitant mettre de côté des sous afin d'effectuer des études en architecture.

C'est alors que Maëlle agée de 20ans seulement voit sa vie basculer la 6 juin 2013.

Du jour au lendemain son corps n'est plus sien, une maladie l'assaille un traitement à vie s'impose, sa jeunesse n'est plus qu'un vague souvenir.. Son corps est tout endolori, les nuits sont un enfer, chaque respirations sont devenue frissons mais pa un frisson tendre bien au contraire ça la torture! Souvent elle se surprend à s'imaginer dans la peau du roi lion suite à sa chûte écrasé par le troupeau; mais elle.. Elle est en vie. 

De jour en jour elle voit son passé défilé, cette douce sensation qui l'envahissait après une journée de dur labeur lorsque submergée par la fatigue son lit se transformait en nuage dans lequel son corp léger flottait avant de s'endormir sereinement.. 

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Enchaînée à ce corps qui la meurtri, emprisonnée dans sa propre vie dénué de libertée si ce n'est celle de penser..

Elle caresse, un rêve, un espoir, vous faire apprécier ce que ses mains de plus en plus tordues ont la force de peindre ou de créer. Exigeante avec elle même elle a conscience que ce n'est probablement qu'une douce utopie.